Les rapports entre la marine républicaine et la Kriegmarine furent très tendus : l'amiral Sparzani, sous-secrétaire d'état à la marine n'entretenait pas de bonnes relations avec l'amiral Löwisch, commandant la Kriegsmarine en Méditerranée.
La tension monta avec l'exécution du chef des services maritimes de Gênes, le capitaine de vaisseau Carlo Alberto Unger di Loewemberg et de son aide de camps le cc Silvio Fellner ainsi que de l'arrestation de nombreux marins. Ils furent jugés et fusillés par les Allemands alors que c'était à la justice italienne de s'occuper de leur cas. Ils auraient commis un crime de haute-trahison et ensuite réhabilités, avec les excuses de la Kriegsmarine.